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pliquez-vous que Dieu frappe l’homme pour l’acte de la génération après le lui avoir ordonné quelques versets avant.

Nous ne réfuterons pas plus longtemps cette doctrine et nous nous en rapporterons à la conscience et à la raison de tout homme de bien ayant foi en Dieu et en sa justice, pour la mettre à néant. Il n’est pas d’ailleurs un homme de sens et de cœur, à notre époque, qui voulût se porter le défenseur d’une pareille doctrine ; et si, par impossible, elle n’était point encore déracinée entièrement de nos jours, le temps et la science suffiraient seuls pour l’anéantir un jour.

LVI.

Une autre opinion, plus spécieuse que les précédentes, a été émise en 1854 ; nous la devons à un des écrivains les