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pettes à la fin du monde. 24, 31. Cor. 15. 52.

L’apocalypse nous la décrit d’une manière saisissante.

Les tentations et les séductions des mauvais génies iront en redoublant aux derniers temps.

CIV.

Remarquez bien ces paroles de la Bible (le jugement universel tombera d’abord sur le grand ennemi) : le tentateur du premier homme qui l’accompagne dans le temps et disparaît avec lui à la fin du monde. Cette solidarité, cette identité, ce parallélisme de l’homme et du serpent qui naît avec lui, vit et meurt avec lui, prouve bien que le serpent, ou Satan, n’est que la personnification de l’orgueil chez l’homme, qui le prend au berceau et l’accompagne jusqu’à la mort.

L’écriture nous laisse entrevoir l’é-