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mais il promettait de rester musculeux, et point trivialement bardé de graisse comme son adversaire. Just avait de jolis cheveux blonds, tout frisottants, mais ils n’étaient pas fournis, et, par endroits, l’on entrevoyait sous le buisson une petite clairière. Aristide avait des cheveux blonds, roides et sans grâce, mais d’une nuance plus tendre ; et puis, c’était une véritable forêt luxuriante, la raie était à peine tracée, comme un tout petit sentier dans une épaisse forêt. Tous deux étaient francs et bons, mais batailleurs ; tous deux n’avaient pas de fortune, mais étaient courageux et ne reculaient pas devant l’ouvrage. — Enfin, disait la petite Marie, en se posant devant Claudine qui tournait les rubans de son tablier d’un air indécis, cette situation-là ne peut durer, ils finiront par s’égorger. Je parlerai à ta