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À MAÎTRE FRANÇOIS VILLON
Je me figure, ô vieux maître, ton visage exsangue, coiffé d’un galeux bicoquet ; je me figure ton ventre vague, tes longs bras osseux, tes jambes héronnières enroulées de bas d’un rose louche, étoilés de déchirures, papelonnés d’écailles de boue.
Je crois te voir, ô Villon, l’hiver, alors que le glas fourre d’hermine les