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lement. Il lui renouvela sa provision de sensations, lui fit faire peau neuve d’amitié, l’emmena chez l’un de ses amis qu’en effet Durtal devait aimer.

Des Hermies, qui parlait souvent de cet ami, finit par dire un jour : il faudra pourtant que je te le fasse connaître. Il aime tes livres que je lui ai prêtés et il t’attend ; toi qui me reproches de ne me plaire qu’avec des natures cocasses ou obscures, tu verras en Carhaix un homme presque unique. C’est le catholique intelligent et sans cafardise, le pauvre sans envie et sans haine.