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VII


Si cela continue, je vais finir par délirer, murmurait Durtal, assis devant sa table. Il parcourait à nouveau les lettres que depuis huit jours il recevait de cette femme. Il avait affaire à une infatigable épistolière qui ne lui laissait même pas le temps de se retourner, depuis qu’elle avait commencé ses travaux d’approche.

Sapristi, se dit-il, tâchons de nous récupérer. Après cette missive peu engageante que je lui écrivis en réponse à son premier billet, elle m’envoie, séance tenante, cette épître :


« Monsieur,


« Cette lettre est un adieu ; si j’avais la faiblesse de vous en adresser d’autres, elles seraient monotones