parallèles, notre ovale devient une vraie ellipse, dont la construction ne diffère en rien de celle de l’ovale, sinon que F C (Fig. 61) est ici une ligne droite perpendiculaire à D B, qui auparavant était un arc de cercle. Car l’onde de lumière D N, étant de même représentée par une ligne droite, l’on fera voir que tous les points de cette onde, s’étendant jusqu’à la surface K D par des parallèles à D B, s’avanceront ensuite vers le point B et y arriveront en même temps. Pour l’ellipse qui servait à la réflexion, il est manifeste qu’elle devient ici une parabole (Fig. 60), puisqu’on considère son foyer A infiniment
Fig. 60.
distant de l’autre B, qui est ici le foyer de la parabole, auquel tendent toutes les réflexions des rayons parallèles à A B. Et la démonstration de ces effets est toute la même que la précédente.
Mais que cette ligne courbe C D E (Fig. 61), qui sert à la réfraction, est une ellipse, et telle dont le grand diamètre est à la distance de ses foyers comme 3 à 2, qui est la proportion de la réfraction, on le trouve facilement par le calcul d’algèbre. Car D B, qui est donnée, étant nommée , sa perpendiculaire D T indéterminée , et T C, , F B sera , C B