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tre le nez ; le commerce eſt libre.
Pets de Boulangers.
Voici une petite notte que nous avons reçue à ce sujet d’un maître Boulanger du Havre. « L’effort, dit-il, que l’ouvrier fait en faiſant ſa pâte, le ventre ſerré contre le pétrin, rend les Pets diphtongues : ils ſe tiennent quelquefois comme des hannetons, & on pourroit en avaler une douzaine tout d’une tire. » Cette remarque eſt des plus ſçavantes, & de fort bonne digeſtion.