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LETTRE XXXV


ZURICH


Paysages. — Tableaux flamands en Suisse. — La vache. — Le cheval qui ne se cabre jamais. — Le rustre qui se comporte avec le beau sexe comme s’il était élève de Buckingham. — La ruche et la cabane. — Microcosme. — Le grand dans le petit. — Sekingen. — La vallée de l’Aar. — Quelle ruine fameuse la domine. — Brugg. — L’autour, après une longue et patiente étude, donne une foule de détails scientifiques et importants touchant la tête de hun qui est sculptée dans la muraille de Brugg. — Costumes et coutumes. — Les femmes et les hommes à Brugg. — Chose qui se comprend partout, excepté à Brugg. — L’auteur décrit, dans l’intérêt de l’art, une coiffure qui est à toutes les coiffures connues ce que l’ordre composite est aux quatre ordres réguliers. — Danger de mal prononcer le premier mot d’une proclamation. — Baden. — La Limmat. — Fontaine qui ressemble à une arabesque dessinée par Raphaël. — Aquæ verbigenæ. — Soleil couchant. — Paysage. — Sombre vision et sombre souvenir. — Les villages. — Théorie de la chaumière zuriquoise. — Le voyageur s’endort dans sa voiture. — Où et comment il se réveille. — Une crypte comme il n’en a jamais vu. — Zurich au grand jour. — L’auteur dit beaucoup de mal de la ville et beaucoup de bien du lac. — La gondole-fiacre. — L’auteur s’explique l’émeute de Zurich. — Le fond du lac. — A qui la ville de Zurich doit beaucoup plaire. — Qu’est devenue la tour du Wellemberg ? — L’auteur cherche à nuire à l’hôtel de l’Épée par la raison qu’il y a été fort mal. — Un vers de Ronsard dont l’hôtelier pourrait faire son enseigne. —