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LETTRE XIX


FEUER ! FEUER !


Comment on est réveillé à Bacharach. — Comment on est réveillé à Lorch. — L’Échelle du Diable. — Gilgen. — La fée Ave. — Le chevalier Heppius. — L’auteur va en Chine. — L’auteur recommande Lorch aux ivrognes. — Comment il se fait qu’une feuille de papier blanc devient rouge. — L’auteur ouvre sa croisée. — Effrayant spectacle qu’il voit. — Feuer ! Feuer ! — Silhouettes de gens en chemise. — L’auteur monte dans le grenier. — Le spectacle reste effrayant et devient magnifique. — L’auteur assiste à la plus éternelle de toutes les luttes et au plus ancien de tous les combats. — Paysage vu à travers cela. — Grande chose pleine de petites, comme toutes les grandes choses. — Feux de veuve. — Croisées qui s’ouvrent et qui se ferment. — Les flammes bleues. — Les poutres qui se dandinent. — Le papier à fleurs. — Première bucolique, le Berger qui joue avec la Bergère. — Deuxième bucolique, l’Arbre qui joue avec le Feu. — Les anglaises. — Les marmots. — La catastrophe. — Ce qui reste de la chose à quatre heures du matin. — Propreté des servantes. — Probité des paysans. — Histoire de l’anglais qui soupe et qui se couche et qui ne se dérange pas.


Lorch, août.


À Bacharach, minuit venu, on se couche, on ferme les yeux, on laisse tomber les idées qu’on a portées toute la