Comment on est réveillé à Bacharach. — Comment on est réveillé
à Lorch. — L’Échelle du Diable. — Gilgen. — La fée Ave. — Le
chevalier Heppius. — L’auteur va en Chine. — L’auteur recommande Lorch aux ivrognes. — Comment il se fait qu’une feuille
de papier blanc devient rouge. — L’auteur ouvre sa croisée. —
Effrayant spectacle qu’il voit. — Feuer ! Feuer ! — Silhouettes de
gens en chemise. — L’auteur monte dans le grenier. — Le spectacle reste effrayant et devient magnifique. — L’auteur assiste à
la plus éternelle de toutes les luttes et au plus ancien de tous les
combats. — Paysage vu à travers cela. — Grande chose pleine de
petites, comme toutes les grandes choses. — Feux de veuve. —
Croisées qui s’ouvrent et qui se ferment. — Les flammes bleues.
— Les poutres qui se dandinent. — Le papier à fleurs. — Première bucolique, le Berger qui joue avec la Bergère. — Deuxième
bucolique, l’Arbre qui joue avec le Feu. — Les anglaises. —
Les marmots. — La catastrophe. — Ce qui reste de la chose
à quatre heures du matin. — Propreté des servantes. — Probité
des paysans. — Histoire de l’anglais qui soupe et qui se couche
et qui ne se dérange pas.
À Bacharach, minuit venu, on se couche, on ferme les yeux, on laisse tomber les idées qu’on a portées toute la