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L’ensemble est immense et lugubre. Le profond désespoir du destin est dans Eschyle. Il montre, dans des vers terribles, « l’impuissance qui enchaîne, comme dans un rêve, les vivants aveugles. » Sa tragédie n’est autre chose que le vieux dithyrambe orphique se mettant tout à coup à crier et à pleurer sur l’homme.