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La duègne disparaît ; la porte se referme.
Don César, seul.
À ne plus m’étonner. J’habite dans la lune.
Me voici maintenant une bonne fortune ;
Et je vais contenter mon cœur après ma faim.
Rêvant.
Tout cela me paraît bien beau. — Gare la fin.
La porte du fond se rouvre. Paraît don Guritan avec deux longues épées nues sous le bras.