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II

CLUBIN APERÇOIT QUELQU’UN


Zuela venait quelquefois manger à l’auberge Jean. Sieur Clubin le connaissait de vue.

Du reste, sieur Clubin n’était pas fier ; il ne dédaignait pas de connaître de vue les chenapans. Il allait même quelquefois jusqu’à les connaître de fait, leur donnant la main en pleine rue et leur disant bonjour. Il parlait anglais au smogler et baragouinait l’espagnol avec le contrebandista. Il avait là-dessus des sentences : — On peut tirer du bien