Page:Hugo - Les Travailleurs de la mer Tome I (1891).djvu/238

Cette page a été validée par deux contributeurs.
LES TRAVAILLEURS DE LA MER




VII


CHANCE QU’A EUE CE FLÂNEUR


La marée soulevait assez la barque pour que Gilliatt en se haussant debout sur le bord de la panse pût atteindre aux pieds de l’homme. Il se dressa sur le bordage et éleva les mains. S’il fût tombé en ce moment-là, il est douteux qu’il eût reparu sur l’eau. La lame battait. Entre la panse et le rocher l’écrasement était inévitable.

Il tira le pied de l’homme endormi.

(Volume I. — Livre IV. Chapitre VII)