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I
LA CHAMBRE D’EN BAS
Le lendemain, à la nuit tombante, Jean Valjean frappait à la porte cochère de la maison Gillenormand. Ce fut Basque qui le reçut. Basque se trouvait dans la cour à point nommé, et comme s’il avait eu des ordres. Il arrive quelquefois qu’on dit à un domestique : Vous guetterez monsieur un tel, quand il arrivera.
Basque, sans attendre que Jean Valjean vînt à lui, lui adressa la parole :