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III
UNE TEMPÊTE SOUS UN CRÂNE
Le lecteur a sans doute deviné que M. Madeleine n’est autre que Jean Valjean.
Nous avons déjà regardé dans les profondeurs de cette conscience ; le moment est venu d’y regarder encore. Nous ne le faisons pas sans émotion et sans tremblement. Il n’existe rien de plus terrifiant que cette sorte de contemplation. L’œil de l’esprit ne peut trouver nulle part plus d’éblouissements ni plus de ténèbres que dans l’homme ; il ne peut se