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LES MISÉRABLES. — L’ÉPOPÉE RUE St-DENIS.

torche enfouie dans les pavés, on apercevait cette tête vaguement. Rien n’était plus étrange, à cette clarté sombre et incertaine, que cette face livide, immobile, étonnée, avec ses cheveux hérissés, ses yeux ouverts et fixes et sa bouche béante, penchée sur la rue dans une attitude de curiosité.

On eût dit que celui qui était mort considérait ceux qui allaient mourir. Une longue traînée de sang qui avait coulé de cette tête descendait en filets rougeâtres de la lucarne jusqu’à la hauteur du premier étage où elle s’arrêtait.