Page:Hugo - Les Misérables Tome IV (1890).djvu/513

Cette page a été validée par deux contributeurs.


VIII

PLUSIEURS POINTS D’INTERROGATION À PROPOS D’UN NOMMÉ LE CABUC QUI NE SE NOMMAIT PEUT-ÊTRE PAS LE CABUC



La peinture tragique que nous avons entreprise ne serait pas complète, le lecteur ne verrait pas dans leur relief exact et réel ces grandes minutes de gésine sociale et d’enfantement révolutionnaire où il y a de la convulsion mêlée à l’effort, si nous omettions, dans l’esquisse ébauchée ici, un incident plein d’une horreur épique et farouche qui survint presque aussitôt après le départ de Gavroche.