Page:Hugo - Les Misérables Tome IV (1890).djvu/225

Cette page a été validée par deux contributeurs.


II

OÙ LE PETIT GAVROCHE TIRE PARTI DE NAPOLÉON LE GRAND



Le printemps à Paris est assez souvent traversé par des bises aigres et dures dont on est, non pas précisément glacé, mais gelé ; ces bises qui attristent les plus belles journées, font exactement l’effet de ces souffles d’air froid qui entrent dans une chambre chaude par les fentes d’une fenêtre ou d’une porte mal fermée. Il semble que la sombre porte de l’hiver soit restée entre-bâillée et qu’il vienne du vent par