Page:Hugo - Les Misérables Tome III (1890).djvu/309

Cette page a été validée par deux contributeurs.

Marius sans quitter des yeux les livres et les manuscrits qu’il avait sur sa table.

Une voix, qui n’était pas celle de mame Bougon, répondit :

— Pardon, monsieur…

C’était une voix sourde, cassée, étranglée, éraillée, une voix de vieux homme enroué d’eau-de-vie et de rogome.

Marius se tourna vivement, et vit une jeune fille.