Page:Hugo - Les Châtiments (Hetzel, 1880).djvu/307

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Tu fourres, impudent, ton front dans ses couronnes !
Nous entendons claquer dans tes mains fanfaronnes
Ce fouet prodigieux qui conduisait les rois ;
Et tranquille, attelant à ton numéro trois
Austerlitz, Marengo, Rivoli, Saint-Jean-d’Acre,
Aux chevaux du soleil tu fais traîner ton fiacre !


Jersey, 31 mai 1853.