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I
SACER ESTO
Non, liberté ! non, peuple, il ne faut pas qu’il meure !
Oh ! certes, ce serait trop simple, en vérité,
Qu’après avoir brisé les lois, et sonné l’heure
Où la sainte pudeur au ciel a remonté ;
Qu’après avoir gagné sa sanglante gageure,
Et vaincu par l’embûche et le glaive, et le feu ;
Qu’après son guet-apens, ses meurtres, son parjure,
Son faux serment, soufflet sur la face de Dieu ;
Qu’après avoir traîné la France, au cœur frappée,
Et par les pieds liée, à son immonde char,