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GENNARO.
Je me doutais de tout.
DONA LUCREZIA.
Vous êtes empoisonné encore une fois. Vous allez mourir !
GENNARO.
Si je veux. — J’ai le contre-poison.
DONA LUCREZIA.
Ah oui ! Dieu soit loué !
GENNARO.
Un mot, madame. Vous êtes experte en ces matières. Y a-t-il assez d’élixir dans cette fiole pour sauver les gentilshommes que vos moines viennent d’entraîner dans ce tombeau ?
DONA LUCREZIA, examinant la fiole.
Il y en a à peine assez pour vous, Gennaro !