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ACTE I, PARTIE II. 61 [ porte—cbape Astolfo que votre altesse l’attend aujourd’hui a telle heure au palais. l DONA LUCREZIA. Je le ferai , Gubetta. Mais voudra-t-il venir? cumz·rr.4I Rentrez, madame, je crois qu’il va passer ici tout-a-Yheure avec les étourneaux en question. DONA LUCREZIA. . Te prenneut—ils toujours pour le comte deBel- yerana P GUBE'1‘TA. Ils me croient espagnol depuis le talonjusqu’aux sourcils. Je suis uu de leurs meilleurs amis. J eleur emprunte de l’argent. DONA LUGRBZIA. De l’argent! et pourquoi faire? GUBETTA. · Pardieu! pour en avoir. D’aillelu·s il n’y a rien qui soit plusespagnol que d’avoir l’air gueux et de tirer le diable par la queue.
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