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AUFE I; PARTIE I. .15

nitamére.’On ne doutepas quetune

suis gmdhomme, zi le faeon dont tu tiens uué. épée; mais tout ce qu’on sait de ta no`blesse, c’est ' que tu te bats comme nn lion. Sur mon Ame, nous sommes compagnons d’armes, et ce que je dis n’est‘ pas pour`t‘oll’enser. Tu m’as sauvé la sie 5 Rimini , je t’si sauvé 'la vie au pont de Vicence. NOW! ·¤0W§ wmmw fwd do mid: didn en perils _ comme en amour, de nous venger l’un l’aut1·e quand besoin serait, den’avoir pour ennemis, moi, que lcs tiensiinii que lcs mime. Un astro- _ logue nousa prédit que nous mourrions le meme jour, et nous ‘lui'avdns dormé dit sequins d’or pour la prédiction. Nous ne sommespas amis, nous sommes fréres. Mais eniin, tu as le bonheur de t’appeler simplement Gennaro, de ne tenir A personne, cle ne trainer apres toiaucune de ees fatalités,Vsouvent héréditaires, qui s°atTa<ilient aux noms historiques. ET u es lieureuixl Que t’importe _ ce qui se passe et ce qui ·s'est·passé, pourvu qu’il y ait toujours des hommes pour la guerre et des femmes pour Ie plaisir? Que te fait Yhisioire des familles et des villes , _g;l],qi , enfant du drapeau , · qui n’asni ville ni familleP Nous, vois-tu, Gennaro? dest &$'é¤e¤'te Ndus avons droit de preudre in- térévaux catastrophes de notre temps. Nostperes Digiiiziii by Google