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III

 
Maintenant, que chacun sonde son propre abîme.
Voyons, quiconque vit, faible, fort, grand, infime,
Riche, pauvre, l’heureux, celui qui va pieds nus,
Les passants de la rue et les premiers venus,
Celui qui perd sa vie et celui qui la gagne,
Nous tous, supposons-nous portés sur la montagne,