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LE VIEILLARD.
Il vit sans rendre hommage et sans payer tribut.
LE BOURGEOIS.
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Qu’il est heureux ! Hélas, les impôts nous obèrent.
LE VIEILLARD.
Mais cela va finir. Les princes délibèrent.
Montrant le revers de la montagne opposée au précipice.
Ils sont là.
LE BOURGEOIS.
Qui donc ?
LE VIEILLARD.
Le roi d’Arle, et les deux formidables amis
Qui ne se quittent pas, l’un maudit, l’autre frappe,
Othon Trois, empereur, et Sylvestre Deux, pape.
L’ÉTUDIANT.
Qu’importe ! Le rocher est fort, Welf est viril.