Page:Hugo - La Légende des siècles, 2e série, édition Hetzel, 1877, tome 1.djvu/191

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


MONTFAUCON




I

POUR LES OISEAUX.


 
À l’heure où le soleil descend tiède et pâli,
Seul à seul, près du bois de Saint-Jean-d’Angely,
L’archevêque Bertrand parlait au roi Philippe :

— Roi, le trône et l’autel sont le même principe ;
Défendons-nous ensemble ; il faut de tous côtés