Page:Hugo - L'Homme qui rit, 1869, tome 2.djvu/151

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


X

FLAMBOIEMENTS QU’ON VERRAIT SI L’HOMME ÉTAIT TRANSPARENT


Quoi ! cette femme, cette extravagante, cette songeuse lubrique, vierge jusqu’à l’occasion, ce morceau de chair n’ayant pas encore fait sa livraison, cette effronterie à couronne princière, cette Diane par orgueil, pas encore prise par le premier venu, soit, peut-être, on le dit, j’y consens, faute d’un hasard, cette bâtarde d’une ca-