Connais-tu son écriture ?
Lis ceci.
— Il importe qu’il rentre chez lui et qu’il cherche querelle à Jane, cela donnera à mes gens le temps d’arriver.
« Je serai seule cette nuit, vous pouvez venir. » — Malédiction ! Mylord, tu as déshonoré ma fiancée, tu es un infâme ! Rends-moi raison !
Je veux bien. Où est ton épée ?
Ô rage ! être du peuple ! n’avoir rien sur soi, ni épée ni poignard ! Va, je t’attendrai la nuit au coin d’une rue, et je t’enfoncerai mes ongles dans le cou, et je t’assassinerai, misérable !
Là, là, vous êtes violent, mon camarade !
Oh ! mylord, je me vengerai de toi !
Toi ! te venger de moi ! toi si bas, moi si haut ! tu es fou ! je t’en défie.
Tu m’en défies ?
Oui.
Tu verras !
Il ne faut pas que le soleil de demain se lève pour cet homme.
— L’ami, crois-moi, rentre chez toi. Je suis fâché que tu aies découvert cela ; mais je te laisse la belle. Mon intention, d’ailleurs, n’était pas de pousser