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LE MANUSCRIT DES MISÉRABLES.

chapitre, recopiée plus loin et augmentée de l’intervention d’Éponine sauvant Marius.


Feuillet 291. — V. Fin des vers de Jean Prouvaire.

La note que nous avons citée page 378 montre que Jean Prouvaire avait été « ajouté » aux insurgés. Le titre du chapitre v n’existe donc pas sur le manuscrit de 1848, et un ajouté marginal nous donne le récit de sa mort.


Feuillet 292. — Ajouté en 1860-1862 et donnant des détails sur la blessure d’Éponine.

Le chapitre suivant continue sans indication.


Feuillet 294, verso. — VII. Gavroche profond calculateur des distances.

Une note commencée au bas du feuillet terminant ce chapitre et achevée en tête du feuillet 298 nous donne cette indication précieuse :


14 février (1848).
Ici le pair de France s’est interrompu,
et le proscrit a continué.

30 décembre 1860.
Guernesey.

Les feuillets numérotés 295, 296 et 297, donnant, le premier, le titre du livre XV, les deux autres un brouillon, viennent couper cette note.


LIVRE XV. — LA RUE DE L’HOMME-ARMÉ.


Ce livre est tout entier de l’exil, moins un petit brouillon du début du chapitre i, placé en tête et au haut duquel Victor Hugo a écrit :


Ceci a été écrit le 21 février 1848.


Au bas, une observation.


(Il y a, je crois, quelque part, la redingote de Marius. Marius n’a qu’un habit. Vérifier.)

Feuillet 299. — I. Buvard, bavard.

En marge de l’alinéa commençant par : Le logement de la rue de l’Homme-Armé… cette date : 1er janvier 1861.