Sans doute pour la même raison, ces quelques répliques de dialogue avant la séparation du marquis et du mendiant ont été biffées au feuillet 86 :
Le marquis se leva et jeta sur le lit d’ajoncs son manteau.
— Il fait chaud, dit-il, je laisse mon manteau qui n’est bon qu’à me dénoncer.
— Que Dieu soit avec vous !
— Il a été cette nuit avec moi, puisque vous étiez là. Adieu, Tellmarch.
— Adieu, monseigneur.
Le passage supprimé que nous rétablissons page 444, au chapitre Sein guéri, cœur saignant, explique ces ratures.
Cette deuxième partie est, jusqu’au feuillet 175, c’est-à-dire jusqu’à l’avant-dernier chapitre, paginée par lettres alphabétiques, mais au crayon bleu, et va jusqu’à la lettre J3 (troisième série).
Pour cette partie, les titres de chapitres ont été ajoutés à l’encre rouge.
A. Feuillet 104. — I. Les rues de Paris dans ce temps-là.
Ce n’est pas la première version que nous avons sous les yeux, car les deux premières lignes sont biffées et font suite à l’une des pages publiées dans le Reliquat ; il y a eu trois débuts pour cette deuxième partie, et ces trois débuts, datant du même jour, portent tous trois cette note en tête :
Aujourd’hui vingt-et-un janvier 1873, je commence à écrire cette seconde partie du livre 93.
La première de ces notes est en tête du feuillet 104 ; la seconde, biffée, au coin du feuillet iii, et la troisième au Reliquat (voir page 390).
Bbis. Feuillet 106. — Cette page semble ajoutée après les autres, en tout cas écrite avec une plume plus fine ; elle commence à ces mots : On portait des vestes bleu de tyran.
Au verso, une tête de bonhomme barbu et ces mots :
La marge du feuillet 109 est remplie en tous sens d’ajoutés.