Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Roman, tome IX.djvu/178

Cette page a été validée par deux contributeurs.

et qu’un point de ce sol ne pût tressaillir sans que tout s’ébranlât. En un clin d’œil on était informé de Noirmoutier à Luçon et le camp de La Loué savait ce que faisait le camp de la Croix-Morineau. On eût dit que les oiseaux s’en mêlaient. Hoche écrivait, 7 messidor an III : On croirait qu’ils ont des télégraphes.

C’étaient des clans, comme en Écosse. Chaque paroisse avait son capitaine. Cette guerre, mon père l’a faite, et j’en puis parler.