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Oui, je veux dans mes vers pleins d’une noble audace.
Chanter sa gloire et sa splendeur ;
Je veux du maître du Parnasse
Par lui-même inspiré célébrer la grandeur ;
De lauriers immortels je veux ceindre ma tête ;
Je veux encor. . . Mais quoi ! quelle ardeur indiscrète
Vient tout à coup me transporter ?
C’en est fait, mon esquif s’arrête.
Muse, il est temps de t’arrêter.