Page:Hugo - Œuvres complètes, Impr. nat., Poésie, tome XIV.djvu/78

Cette page n’a pas encore été corrigée


Mais du vin ? — Je l’en soûle. à battre la muraille.
— Et s’il veut être libre enfin ? — Je le mitraille.

Ainsi l’on parle, et moi, dans le bouge infamant,
J’entre, et je te regarde, Histoire, fixement.

20 octobre.

XXX Je ne désire pas la mort de Bonaparte