Voix dans le grenier.
En marge, et comme jetée en note, cette indication qui pourrait faire supposer que ce dialogue était primitivement un fragment de comédie :
Grabat, poëte.
Le Soutien des empires.
Sans titre, cette pièce semble écrite pendant l’exil.
En marge neuf vers biffés, dont quelques mots sont illisibles. Nous avons retrouvé, sur un bout de papier isolé, des vers rétablissant le texte biffé dans le manuscrit. Nous les transcrivons ici avec les variantes découvertes sous les ratures :
Que voulez-vous ? la vie est ainsi. Jeune, on est
Il bourdonne le psaume, il braille l’oremus,
Tel est l’homme. En gagnant de l’âge il perd la joie.
Aussi bête et plus laid. Le paon se change en oie.
À un homme fini.
Le titre, les ajoutés et les corrections sont de beaucoup postérieurs à la poésie. Après les quatre premiers vers venaient les quatre qui terminent actuellement la pièce ; plus tard Victor Hugo les a biffés pour les récrire, en les développant, au bas du manuscrit.
Anima vilis.
Sous le béquet collé en tête, nous découvrons que le premier début était :
Ah çà ! tu perds ton temps et ta peine, grimaud !
En remaniant le commencement, Victor Hugo a ajouté dix-huit vers.
Le compte des vers est arrêté : 68-74. Pas de date indiquée, mais le manuscrit est semblable comme écriture, format et couleur, à celui intitulé : À un écrivain, daté 24 juillet 1859.
Le Mont-aux-Pendus.
Au bas du feuillet cette mention :
Pour remplacer la pièce contre la chasse.