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relevons six poésies publiées dans Toute la lyre(1), une dans Dernière Gerbe(2) ; nous leur avons rendu leur destination primitive en les insérant dans ce volume.

On trouvera, annexée au manuscrit du Reliquat, cette copie dont nous publions la table en indiquant les titres définitifs ; pour toutes les poésies qui n’ont pas été maintenues par Victor Hugo dans les Chansons des Rues et des Bois, nous citons les recueils où elles ont paru.

1 Le cheval

2. La grecque et la parisienne…Toute la lyre.

3. Genio libri.

4 Orphée, au bois du Caÿstre…

5 C’était du temps que j’étais jeune… (Post-scriptum des rêves)

6. À un ami.

7. Ordre du jour de floréal

8 La nature est pleine d’amour…

9. Paupertas.

10. Meudon.

11. Réalité

12. Ami, j’ai quitté vos fêtes…

13 Le nid.

14. À un ami. {Fuis l’éden des anges déchus).

15. Sur un historien à l’usage des collèges — Inédit, voir page 338.

16 Oh ! Les charmants oiseaux joyeux !

17. En sortant du collège.

18 Deuxième lettre. {Suite de la pièce précédente)

19, Quand les guignes furent mangées…

20. Je fixais un œil ébloui… — Inédit, voir page 340.

20(3). N’ayant ni bois ni coteaux…Toute la lyre.

21 Dizain de femmes

20 Aux champs, compagnons et compagnes ! (Le poëte bat aux champs)

21 Je ne me mets pas en peine…

22. Ces lieux sont purs, tu les complètes… (À Jeanne.)

23. Ce petit bonhomme bleu… (À dona Rosita Rosa.)

24. Interruption à une lecture de Platon.

25. Fêtes de village en plein air.

26 Soyons joyeux, dieu le désire… (Hilaritas.)

27. Environs de Paris. (Jour de fête aux environs de Paris.)

27. Le chêne du parc détruit.

28. Visions de lycéen.Toute la lyre.

28. Écrit en 1827.


(1) La grecque et la parisienne… (Voir page 344.) — Visions de lycéen. (Voir page 334.) — N’ayant ni bois ni côteaux… (Voir page 332.) — À un rat. (Voir page 323.) — L’idylle de floriane. (Voir page 326.) — Venez nous voir dans l’asile… (Dans cette édition, cette poésie prendra place dans Les années funestes, selon l’indication donnée par Victor Hugo au coin du manuscrit.

(2) À une âme qui ne s’aperçoit pas qu’elle est une femme (Voir page 321.)

(3) Il y a quelque confusion dans le numérotage des pièces, ainsi le nombre 20 est répété trois fois.