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Au même[1].
H.-H., 4 Xbre.
Mon Victor,
La prière des Athéniens, transmise par le consul général de Grèce à Londres, M. Spartali, était si pressante que j’ai dû prendre la parole. Voici mon speech. Communique-le de ma part à notre honorable et excellent ami M. Bérardi, mais dis-lui bien que je n’en crois pas la publication possible dans l’Indépendance.
Je vous embrasse tendrement, mes trois bien-aimés.
V.[2]