pour Mario Proth, est-ce avec intention qu’il était omis ? pouvez-vous me renseigner là-dessus ? Où en sommes-nous avec lui ? — Je viens de finir un drame en quatre actes en prose. Mais je ne veux ni le faire jouer, ni le faire imprimer. Je le garde sobra seis llave. — J’ai lu, et relu, et relu des vers de vous, charmants, profonds, superbes ! Je vous crie mon bravo et mon merci.
Banville m’écrit qu’il n’a pas reçu le livre. Méry l’a-t-il[1] ?
Cher Auguste, avez-vous lu l’article de M. Crépet dans la Revue Germanique ? Guérin m’écrit pour m’engager à lui envoyer un frontispice. Le voici. Si c’est votre avis, soyez assez bon pour le lui transmettre. Les deux articles de M. E. des Essarts sont très bons et très sympathiques. Voudrez-vous mettre ce mot sous enveloppe et le lui envoyer. Je continue à ignorer son adresse. Est-il à Moulins ? est-il à Paris ? — Avez-vous eu la bonne grâce d’envoyer ma lettre à cet excellent docteur Mandl ? (Maison Busquet. Mais où est la maison Busquet ? vous le savez, et je l’ignore). Que de choses j’aurais à vous dire ! Que de remercîments à vous faire ! Une lettre de vous est un cordial. Mais Paul Berthaud ? Où en est Paul Berthaud ? Parlez-moi de lui. C’est votre œuvre qui m’intéresse et c’est votre succès qui m’échauffe.
Un journal prétend qu’on lit sur mon cachet : faire et refaire. — On ne lit rien sur mon cachet, attendu que je n’ai pas de cachet.
J’ai la bague de mon père, que vous connaissez[3]
Mon Victor, je te demande, à toi l’homme des finances, de me suppléer à Bruxelles en trois choses :
1° Voir immédiatement MM. Lacroix et Verboeckhoven, et les prévenir qu’aux termes de l’avis que je leur ai déjà donné, M. Coddron, agent de change, se présentera chez eux le jeudi 26 avril courant, et leur apportera
