à l’apparition de mes livres, il faudrait, dans chaque journal ami, une trentaine de lignes, entrefilets, annonçant la mise en vente et donnant une impression rapide du livre en attendant l’article. Encore pour cela, décidez souverainement. Tout ce que vous ferez sera bien.
Vous avez reçu hier les couvertures ; en ce moment (dimanche) vous recevez le paquet chargé contenant les premières pages, plus diverses lettres, dont une pour Auguste, et une pour ma femme. La question des revues serait en effet embarrassante. Tout bien pesé, les extraits ne donnant que des fractions d’idées du livre, il vaut mieux n’en pas faire. À la publication de la 2e et de la 3e partie ensemble, on pourra donner des extraits aux journaux et peut-être aux revues. Cela variera le mode de publication, et sera plus facile. — Ainsi, des extraits de Waterloo, ce qui intéressera tout le monde, un chapitre sur le Paris malfaiteur intitulé Patron-Minette. — Un salon de 1815, etc. — Le livre alors sera lancé, et l’on ne craindra plus d’en faire gauchir l’effet. Du reste, vous jugerez et vous déciderez.
Quatre lignes au triple galop. Voici les premières pages demandées. Vous lirez ma petite note. Pour M. Jules L. l’envoi du livre ne suffirait-il pas ? J’attends un oui ou un non de vous qui me dirigera.
Voici les réponses aux questions de M. Templier. Je ne puis répondre à toutes, n’ayant pas les Orientales. Soyez assez bon pour le lui expliquer.
J’ajoute M. Claye. N’oubliez pas l’envoi aux Modes parisiennes, 10, rue des Moulins. Votre observation pour la variante de Sarah la baigneuse est excellente. J’avais fait ce changement pour une réimpression. Veillez-y. — Je suis à vous, âme, cœur et esprit.
