conquérant ou d’un roi ; je fais aujourd’hui comme on faisait autrefois, je mets le Rhin[1] à vos pieds.
Toujours à vous, toujours pour vous.
Merci, cher Alfred, de votre bon et gracieux souvenir. J’aurai grande joie en effet à serrer votre main qui écrit de si belles choses pour tous et de si bonnes pour moi. Je vous irai chercher un de ces matins.
J’ai d’autres pairs que ceux-là, cher poëte, et vous en êtes un. Je suis heureux d’être compris par vous, et heureux de vous comprendre. Un de ces jours, je l’espère toujours, nonobstant les Cogniards qu’il y a, je vous applaudirai avec l’aide de Dieu et de Frédérick[6]. En attendant je suis vôtre, ex imo corde.
Vous savez, monsieur, que vous êtes pour moi une gracieuse providence et que lorsque je me sens souffrir dans quelqu’un des membres de cette grande famille des lettres, après avoir épuisé mes chétives ressources, je m’adresse à vous. Il y a dans mon marais, rue de Saintonge, une digne et