Votre belle et noble lettre est une émotion pour moi. J’y sens votre main serrant la mienne. À bientôt. Mettez-moi aux pieds de votre généreuse et charmante femme.
Mon cher et cordial confrère, vous avez écrit sur Napoléon le Petit une page éloquente que le Rappel[3] a reproduite. Je serais heureux de vous serrer la main. Si vous n’avez pas peur d’un dîner de famine, vous seriez bien aimable de venir vous asseoir à ma cantine. Pavillon de Rohan, r Rivoli 172 après-demain samedi à 6 h. 1/2.
Je vous demande une exception, mais je vous la demande pour une exception. T. Gautier est, comme poëte, comme écrivain, comme critique, comme artiste, un des hommes qui honorent notre temps. S’il s’adressait à vous directement, vous feriez ce qu’il désire ; il me croit un crédit qu’il a, certes, plus que moi ; mais puisqu’il le veut, je vous fais sa demande. La voici : Gautier a un cheval, ce cheval est réquisitionné, Gautier l’aime, et