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M. Cousin. — La décadence de la langue française a commencé en 1789.

Moi. — À quelle heure, s’il vous plaît ?




IV

1845.

Voici dans quel ordre les académiciens exacts siégeaient (en 1845) aux séances particulières de l’Académie.

Les trois membres du bureau (le directeur, le chancelier, le secrétaire perpétuel) sur l’estrade.

À la droite du bureau :

M. Royer-Collard. — M. le duc Pasquier. — M. le comte Molé. — M. le baron de Barante. — M. le baron Guiraud. — M. Dupin aîné. — M. le comte de Salvandy.

Sur le pan coupé faisant bras d’équerre et se rattachant perpendiculairement à la table qui faisait face au bureau :

M. Flourens. — M. Lacretelle. — M. Dupaty.

En face du bureau :

M. Tissot. — M. Ancelot. — M. Droz. — M. de Pongerville. — Moi.

À gauche :

M. de Feletz. — M. Brifaut. — M. Patin. — M. Sainte-Beuve.

Sur le pan coupé de gauche :

M. Viennet. — M. Mignet. — M. Lebrun. — M. Cousin.

À la gauche du bureau :

M. Mérimée. — M. le comte Philippe de Ségur.




V

1er décembre 1846.

Dans la nouvelle salle des séances privées de l’Académie, la statue de Racine a été mise dans un coin et la statue de Corneille au centre, derrière le fauteuil du président.