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» (36)\t‘ rage î C’est là, oui , c’est là que vos coups doivent s’adresser fant qu’il palpitera, aucun mortel ne m’enlevera impunément une si belle conquête. dorbak.\t" • Vous me croyez votre rival : désabusez - vous ; j aima Amélie , mais... Frédéric, l’interrompant. N’achevez pas. Je suis seul, mais Jussiez-vous mille contre moi , vous ne suffiriez pas pour me l’arracher. Venez , m lie, suivez votre amant, votre époux, votre ( Il lui prend la main avec une extrême vivacité Am i dans une extrême agitation $ elle lui résiste, ) Vous a cez !... C’en est'fait !... Je le vois , vous ne m aimez p*ns... Eh bien , restez avec mes ennemis. Us «e croyent assez o pour m'arcabier ; mais je vais les confondre... Viens , e r _ ( A Dorbak, ) Je vous attends , audacieux rival ; je vous ar rachorai la vie , ou je tomberai sous vos coups... Je vous ro verai sous les murs du château. (Prenant Angéla ) enez> je vous prends pour témoin. A FRÉDÉRIC. Ne craignez rien 5 mes ennemis vont apprendre à me con¬ naître. ( It P emmène malgré elle, ) s ANGOLA. Eh i mon dieu !... Major !... Major.

  • \t8OBRSK1, en riant.

Allons au secours de cette pauvre douairière. (Ils sortent,} SCENE XIII. I\t-\t•\t. LADISLAS, PAULINA, DONASKO. F A Ù t I N A. Eh bien, monsieur le Maréchal ? LADISLAS. Frédéric est un être indéfinissable. On a* eu.tort de lui lais¬ ser sa liberté. Il n’appartient plus à sa famille , et je vais à l’instant lui donner des gardes qui me répondirent de sa per» sonne. Suivez.moi, messieurs. t