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FRÉDÉRIC DE MINSKI, OU- LE TRIBUNAL DE FAMILLE. AÙTE PREMIER. Le théâtre représente un parc + à t extrémité du¬

  • quel est une montagne couverte d9 arbres 9 et

■ sur laquelle on aperçoit plusieurs sentiers. Sur le côté de la scène est une maisonnette qui sert de rendez-Vous de chasse. . SCENE PREMIERE. ■' PETERS , BRUSKO , Vassaux , en habits de chasse et ar¬ més de sabres et de fusils.\t\ p s t b a a. t Allons , mes amis , vive la chasse ! voilà une bellejournée qui se prépare pour nous. Quel tintamare nous allons faire dans la forêt !... Dites-moi. : vos fusils sont-ils de calibre f vos sabres sont-ils bien affilés ? L B 8 VA 88 AUX.\t• Oui | oui , M. Peters. P B T X R S.\t: Bon. Morbleu! c’est que pour chasser un sanglier > il ne , faut pas y aller de main-morte.... Ah ça , je vous en prie 9 ne me quittez pas tant que durera lâ chasse. BRUSKO. Est-ce que vous avez peur, M. Péters?\t. 7\t,\tP B T B R s. Moi î avoir peur d’une, bête ! pour q*» ™ prenez-vous ? oh ! non ; ce n’est pas ça du tout. C’est au contraire pour l’ef¬ frayer davantage. On dit que ces animaux-là n’aiment pas la grande compagnie , et plus, nous serons de monde 9 plus noue Pépôu vanterons. Voilà le pourquoi. >\tb r u s x o.\t. A la bonne heure ! PB T B R S. Ce que c’est que d’être un 'grand personnage... C’est pour¬ tant pour un seul homme qu’on fait tout ces apprêts» 7