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. < *3 > ' S C E N E V I I I. • . «*. - PAÜLINA, DONASKO, ANGÉLÀ, SOBESKI, ’\tAUGUSTE. . PAU Ir I X A. Je tous salue, M. le Major, et voua prie de m’excuser si je n’ai pas été vous recevoir. SOBESKI. C'était à moi à vbus prévenir , madame « et je me rends à mon devoir... Salut au noble.palatin Donasko,\t, DONASKO. Soyez-le bien venu , Major, Votre arrivée comble tous nés vœux, ANGOLA. Savàs-vous» mon vieil ami, que votre fou n’est pas du tout honnête.\t„ -\tp A v £ r K A. Qu’tf^il donc fait ?\t. ANGOLA. Vous ave? vu Pem pressentent avec lequel nous avons couru asa rencontre ; du plus loin qu’il nous aperçât, il précipita sa marche»» et à peine arrivé , il s’enferma dans sa chambre» avec le Major, sans nous permettte de le voir ni de lui parler. ' a o B B 8 K i. ‘\t" Dans l’état où il est, quels égards pouvez-vous en attendre, PAULIN A. Eh bien y Major » que penses-vous de ce jeune infortuné? s o b b s K i. Que n’a-t-il perdu la vie en perdant l’honneur e^la raison! DONASKO. Il est donc sans ressource ? s^ô b. b s x i , à Paulin^. Oserais-je, madame, vous faire une question qui vous pa¬ raîtra peut-être étrange dans la bouche, d’un -parent, mais qui cessera de l’être en pensant àla sollicitude absolue dans laquelle j’ai vécu depuis nombre données ? PAULINA. Parles , monsieur. sobeski. Quelle est cetLQ^Amélie dont Frédéric est sans cesse oc¬ cupé ? je ne la vois pas ici. Serait-elle mariée ?\t. A X G £ L A. .\t. Mariée ? à qui donc ?\t.\t..\t. v\tSOBESKI,\t, Au baron Dorbak. .\t>