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ÎLE D’ANTICOSTI

Menier. On est heureux de voir cette grande terre de l’Anticosti revenue en des mains françaises, comme elle était à l’origine de la colonie. Et le soin que le propriétaire paraît vouloir apporter au choix de ses subordonnés, rappelle les conditions des premiers établissements français en Amérique.


M. H. MENIER.

Personne, assurément, n’a le droit de demander à M. Menier ce qu’il entend faire de l’île d’Anticosti. Cela rentre tout à fait dans le domaine des affaires privées.

Il est toutefois permis de penser qu’il y cherchera plaisir et profit.

Et pour ce qui est de la question d’amusement, on avouera qu’il n’est pas sans charme d’être le propriétaire d’une sorte de