déjà été traduits par Burnouf, d’Alwis, et Gogerly, lorsque, en 1855, à Copenhague, Fausböll publia intégralement le texte pâli d’après trois manuscrits existant dans la bibliothèque de cette ville : publication définitive, à laquelle M. Childers seul a proposé quelques corrections que lui a suggérées un Pandit cinghalais[1]. Trois versions complètes, faites de ce texte par MM. Fausböll, Weber et Max Müller, en ont élucidé à peu près toutes les difficultés : la première, latine, l’accompagnant ; la seconde, allemande, comprenant les pages 118 à 185 du premier volume des Indische Streifen (Berlin, 1868) ; la troisième, anglaise, précédant les Buddhaghôsha’s Parables du « Captain Rogers » (Londres, 1870).
Les indianistes de notre pays sont trop familiers avec les livres de MM. Fausböll, Weber et Müller pour avoir jamais senti la nécessité d’une quatrième traduc-
- ↑ Journal of the royal Asiatic Society. 1871.