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dit, a été arrangée et abrégée ; la traduction manuscrite suit le texte sans rien omettre. Ce texte est celui de l’édition purement chinoise que nous connaissons. La copie en caractère chinois doit être la reproduction exacte de ce même texte ; mais je n’ai pas eu le temps de vérifier.

Le manuscrit est de la main de De Guignes, je n’en saurais douter. Je n’ai pu en comparer l’écriture qu’avec celle d’un seul manuscrit du même auteur, les « Notes sur la grammaire chinoise de Fourmont ». Les deux écritures diffèrent ; j’en conclus simplement que le manuscrit des « Notes, etc. » doit être une copie, et non l’écrit original.

Je m’arrête en regrettant d’être si bref ; le temps me manque comme l’espace. Mais après avoir tant parlé des travaux de De Guignes, je ne pouvais pas me dispenser de dire un mot de ce manuscrit que j’ai eu le tort ou le malheur de découvrir trop tard.