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Le terme tibétain Rab byams pa qui accompagne le nom du traducteur mongol est plus clair ; Csoma le donne dans son dictionnaire ; mais il est également transcrit, non traduit dans le mongol lui-même, ainsi que dans le chinois et le mandchou. Je le rends par « docteur ».

14. Jina (« le victorieux ») est, on le sait, un des noms, une des désignations du Buddha.

15. L’épilogue qui termine le texte de l’édition purement chinoise est tout autre que celui de la Polyglotte. Il n’est pas historique.


FIN DES NOTES

P. S. — Au dernier moment, je trouve, à la Bibliothèque nationale, sous le no 3599 du fonds chinois, un manuscrit intitulé : « Livre de Fo, copié d’après l’exemplaire de la Bibliothèque du Roy. » Le texte chinois occupe 16 pages, il est accompagné d’une traduction qui en occupe 14, et commence au milieu de l’article III ; la première page manque. Cette traduction est évidemment le travail complet de De Guignes ; on y retrouve des phrases de la traduction insérée dans l’Histoire des Huns. Celle-ci, nous l’avons